Certaines langues demandent moins d’efforts que d’autres pour nos neurones. Mais ce n’est pas forcément celles que l’on pourrait s’imaginer. Dans une étude publiée aujourd’hui dans la revue PLOS Biology, des chercheurs de l’Université de Zurich ont démontré que les langues souvent considérées comme “faciles” demandent en réalité un énorme travail de la part de notre cerveau.
